Comme je l’ai répété à plusieurs reprises dans les messages précédents, je fais partie des femmes qui ont des nausées pendant leur grossesse. A lire comme ça, on a l’impression qu’il n’y a rien de surprenant, que c’est la routine et que c’est même plutôt classe d’avoir THE symptôme de grossesse !
Seulement il y a une différence entre la nausée et le petit vomi du matin après lesquels la journée reprend un cours normal et les vomissements continus, l’état nauséeux permanent.
Bilan : -7 kgs ! Le seul et unique point positif ! Mais comme je l’ai toujours répété, j’aurais préféré ne rien perdre et être « normale » plutôt que de vivre cet enfer ! Et croyez-moi je ne me trompe pas de mot !
Je ne pouvais plus manger, plus parler, je ne pouvais presque plus respirer car cela me faisait vomir, je ne pouvais rien faire ! Même dormir m’était pénible…
La situation était si dure que le moral était au fond des chaussettes (même si je n’en portais pas puisqu’il faisait 28°C !) ? D’autant que les nausées ont démarré le premier jour des 3 semaines de vacances que l’on avait et que l’on attendait impatiemment pour souffler un peu ! Pas de chance !! J’ai passé mes vacances allongée ou penchée au-dessus des toilettes.
Et puis il y a eu ce jour, où j’étais au bout du bout ! Chéri venait de reprendre le travail, j’étais seule à la maison et j’avais peur tellement j’étais faible et malade. Alors la décision a été prise : direction la clinique !
La première fois de ma vie que je me faisais hospitaliser. L’appréhension était bien là, of course, mais l’idée d’un éventuel soulagement me donnait courage. Ouais enfin quand la sage femme m’a posé le cathéter, le courage il était pas bien grand !! une fois branchée à ma perf d’eau, de sucre et de primperan, j’ai découvert ma chambre, la 312, au service maternité de la clinique générale d’Annecy. L’endroit où je viendrai donner naissance à mon premier enfant en avril prochain…
Une chambre individuelle, un peu vieillotte… mais pour ce que j’avais à y faire !
Visites interdites sauf au futur papa, TV à regarder avec parcimonie et téléphone à n’utiliser qu’en cachette ! Bref, un séjour de rêve !!
Bon je m’en suis sortie, mais franchement c’était une étape difficile. Difficile de me retrouver seule, d’être branchée 24/24, de ne pas manger, difficile aussi de se sentir seulement malade…et pas enceinte ! A ce moment-là le moral était toujours dans les chaussettes ! (je n’en portais toujours pas en vrai !).
Après quelques jours et quelques essais de nourriture, ils m’ont laissé rentrer chez moi. Je n’étais pas guérie mais comment pouvais-je guérie de ce qui ne se guérit pas ?
Aujourd’hui à la fin du 3eme mois de grossesse ça va beaucoup mieux, mais je ne peux tirer un trait sur cette étape qui a littéralement gâché mon début de grossesse.
Seulement il y a une différence entre la nausée et le petit vomi du matin après lesquels la journée reprend un cours normal et les vomissements continus, l’état nauséeux permanent.
Bilan : -7 kgs ! Le seul et unique point positif ! Mais comme je l’ai toujours répété, j’aurais préféré ne rien perdre et être « normale » plutôt que de vivre cet enfer ! Et croyez-moi je ne me trompe pas de mot !
Je ne pouvais plus manger, plus parler, je ne pouvais presque plus respirer car cela me faisait vomir, je ne pouvais rien faire ! Même dormir m’était pénible…
La situation était si dure que le moral était au fond des chaussettes (même si je n’en portais pas puisqu’il faisait 28°C !) ? D’autant que les nausées ont démarré le premier jour des 3 semaines de vacances que l’on avait et que l’on attendait impatiemment pour souffler un peu ! Pas de chance !! J’ai passé mes vacances allongée ou penchée au-dessus des toilettes.
Et puis il y a eu ce jour, où j’étais au bout du bout ! Chéri venait de reprendre le travail, j’étais seule à la maison et j’avais peur tellement j’étais faible et malade. Alors la décision a été prise : direction la clinique !
La première fois de ma vie que je me faisais hospitaliser. L’appréhension était bien là, of course, mais l’idée d’un éventuel soulagement me donnait courage. Ouais enfin quand la sage femme m’a posé le cathéter, le courage il était pas bien grand !! une fois branchée à ma perf d’eau, de sucre et de primperan, j’ai découvert ma chambre, la 312, au service maternité de la clinique générale d’Annecy. L’endroit où je viendrai donner naissance à mon premier enfant en avril prochain…
Une chambre individuelle, un peu vieillotte… mais pour ce que j’avais à y faire !
Visites interdites sauf au futur papa, TV à regarder avec parcimonie et téléphone à n’utiliser qu’en cachette ! Bref, un séjour de rêve !!
Bon je m’en suis sortie, mais franchement c’était une étape difficile. Difficile de me retrouver seule, d’être branchée 24/24, de ne pas manger, difficile aussi de se sentir seulement malade…et pas enceinte ! A ce moment-là le moral était toujours dans les chaussettes ! (je n’en portais toujours pas en vrai !).
Après quelques jours et quelques essais de nourriture, ils m’ont laissé rentrer chez moi. Je n’étais pas guérie mais comment pouvais-je guérie de ce qui ne se guérit pas ?
Aujourd’hui à la fin du 3eme mois de grossesse ça va beaucoup mieux, mais je ne peux tirer un trait sur cette étape qui a littéralement gâché mon début de grossesse.
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